Jeudi 24 mars 2022 … soleil, soleil
OÙ suis-je ?
Dans ma petite chambre très spartiate à l’hôtel Brasil, au plein cœur de Curitiba.
Dépenses | Prix |
---|---|
Nourriture | 39 reals |
Transports | 0 |
Logement | 50 reals |
Dons | 0 |
TOTAL | 89 reals |
Visite du Parc Barigui, Curitiba
Je vais à pied au parc depuis le centre, cela représente environ 1heure de marche (5km) mais comme je traine, j’en mets plus de deux, c’est fou ce que ça prend de temps d’observer ! Par exemple, ces arrêts de bus en tube, faits pour protéger du vent et la pluie qui sont assez fort à Curitiba, la ville est sur un plateau à 800 mètres d'altitude.
J’arrive pour 12h au parc, où j’achète histoire de me désaltérer, un verre de caldo de cana, du jus de canne à sucre broyée en direct. En rentrant dans le parc, il y a des toilettes avec des bassines d’eau pour les chiens, classe ! En plus, les toilettes sont très propres pour des toilettes publiques et elles sont pourvues de papier toilette.
Le parc est ouvert avec de grandes pistes dédiées aux vélos et aux piétons, qui en font le tour. Il y a même un terrain d’aéromodélisme et un terrain de roller. Le parc possède de grandes pelouses où se prélassent des capybara, des espèces de gros rongeurs impassibles aux poils dur. C'est l'originalité de ce parc, posséder un troupeau de Capybara semi sauvages! Ils se laissent approcher mais pas caresser, ils restent sauvages. C’est fabuleux ! Artic est perplexe mais essaye quand même de les provoquer au jeu. Il n’obtient que des râles et des postures menaçantes de la part des plus imposants tandis que les autres s’en vont.
Il y a des arbres aux racines comme des boursouflures qui sortent du sol et d'autres aux racines comme des longs doigts qui plongent dans l’eau. L’endroit est agréablement calme, c’est idéal pour se poser et lire un peu.
Pour le retour, j’ai un peu la flemme alors je tente le bus. Celui qui arrive n’est pas celui que j’attendais mais je demande quand même s’il va au centre. Le conducteur me dit que oui mais que ce bus n’accepte que les cartes de transport. Ah… Une jeune femme dans le bus me sauve et passe sa carte pour moi sans que j’ai rien demandé. Sympathique ! J’attrape Artic dans mes bras vite fait et je passe le tourniquet du bus avant que le conducteur ne réagisse. Pourtant il aurait dû, c’est normalement interdit.
Une vingtaine de minutes plus tard, me revoilà dans le centre. Je retourne à mon hôtel en visitant la zone commerçante assez mignonne du centre de Curitiba.
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